Dans la tentaculaire gamme du groupe Stellantis, les moteurs 1.2 PureTech et 1.5 BlueHDi ont acquis une mauvaise réputation en raison de leurs problèmes de fiabilité récurrents. Mais une autre mécanique de cette multinationale, aux caractéristiques très différentes, possède de nombreux aficionados. Cela ne l’avait pourtant pas empêché d’être quasiment abandonnée, une décision qui a parfois été attribuée à l’ancien patron Carlos Tavares et qui a été vivement critiquée. L’entreprise a donc finalement décidé de faire machine arrière.